En tant qu’éditeur je suis parfaitement désireux de vous adresser, ou d’adresser en particulier à l’un des gentils auteurs de votre site, un de nos jeux, un de nos livres, du fromage, du jambon ou d’autres choses très concrètes. Comment vous contacter ?
D’abord, merci à vous.
Le site danslacale.fr est depuis le premier jour acquis à l’innovation et aux cadors de la Silicon Valley. Nous possédons par conséquent un compte Facebook (non), un compte Twitter et un compte Instagram (non celui-là pas encore, j’y comprends rien).
N’hésitez pas à les utiliser pour nous joindre :
twitter.com/elpayonico
Sachez enfin que votre geste, que nous interprétons comme une gracieuse démarche de remerciement ou d’encouragement, ne fera l’objet d’un article que dans la mesure où nous trouverons quelque chose d’enthousiasmant à écrire à son sujet.
S’il s’agit d’un jeu par exemple, il est préférable de discuter avec le patron qui saura certainement vous dire si l’ouvrage l’intéresse.
En revanche si ça se mange cette précaution est inutile. Mais il n’est pas prévu d’ouvrir une section culinaire sur danslacale.fr.
Pourquoi danslacale.fr ?
Pourquoi Entre ici, Robinson ?
L’inspiration est une muse capricieuse. Et longtemps elle n’eut pour moi que du dédain.
La première mouture du site s’appelait Marmotte et boules à mite. Il me semblait amusant d’avoir un titre sans aucun rapport avec quoi que ce soit, et surtout pas avec les sujets abordés sur le site.
Hélas je déteste les contrepèteries, et j’ai fini par en trouver une très faible et plutôt navrante.
Puis le 6 mai 2020, le président de la république française s’est adressé par visioconférence au monde de la culture.
Je n’ai pas tout de suite été traversé par la fulgurance qui a donné au site sa grande cohérence actuelle qui, j’en suis convaincu, vous semble désormais évidente.
J’ai d’abord fait une sorte de lien – grand écart – entre cette déclaration et un fameux extrait de L’idéologie allemande, ouvrage philosophique écrit par Karl Marx et Friedrich Engels en 1845.
Jugez plutôt :
« Pour vivre, il faut avant tout boire, manger, se loger, s’habiller et quelques autres choses encore » (Marx et Engels, 1845)
Karl Marx n’avait pas compris – souvent en retard de deux siècles – que « les vrais idéalistes sont des grands pragmatiques » (Macron tout seul, 2020). Et s’agissant de besoins vitaux, il nous accorde « quelques autres choses encore ».
Pendant quelques jours le site a porté ce nom quelquesautreschosesencore.fr car c’était bien de ces quelques autres choses que j’entendais parler ici.
Mais en définitive c’est la verve puissante du président qui m’inspirera.
J’aime penser que si Robinson avait trouvé, en descendant dans la cale, quelque livre, une boîte à musique ou un bon jeu de société, il se serait résigné à laisser derrière lui un peu de jambon ou bien un peu de fromage.
Pourquoi certains articles ne sont pas accessibles via les catégories du menu ?
Avez-vous prévu d’ajouter une catégorie cinéma ?
Il n’est pas exclu de parler de cinéma sur danslacale.fr, nous ne nous interdisons rien. Pour l’instant personne n’a éprouvé l’envie de le faire.
En attendant que ça devienne un des principaux centres d’intérêt du site et donc de pouvoir passer par le menu, vous pouvez utiliser les étiquettes ou les catégories (en modifiant l’url ou en accédant aux étiquettes et catégories présentes dans la colonne de droite ou dans la signature des articles).
Voici quelques exemples de catégories et étiquettes que nous n’avons pas mises en avant dans le menu :
cinéma
politique
tuning
Pourquoi ces billets politiques ? On m’a toujours encouragé à ne pas parler politique dans les dîners ou sur les sites internet. Je trouve que ça salit un peu tout le reste. C’est dommage.
Vous avez raison, il ne faut pas parler politique. C’est dégoûtant.
Mais j’éprouve tout de même le besoin de le faire. Pire : je me persuade que ça puisse avoir quelque intérêt.
Promis je ne le ferai pas trop souvent. Et, comme pour le reste, j’essayerai de ne pas me laisser influencer par l’actualité.
Vous me donnez bien souvent envie d’acquérir des livres, des disques de gens morts et même des jeux de société. Mais en ce qui concerne ces derniers, beaucoup semblent introuvables dans le commerce. Comment faire pour les posséder ?
D’abord, merci à vous.
Il m’arrive bien souvent d’être à côté de la plaque ou pas trop dans l’air du temps.
Croyez-moi, je ne le fais jamais exprès.
Les livres, les disques et les jeux d’occasion, il y a un marché pour ça.
Ce n’est pas grave si la pochette, la couverture, la boîte ou les cartes sont un peu abîmées. Etat d’usage, comme on dit. A mes oreilles l’expression évoque irrémédiablement la valeur d’usage qu’un célèbre philosophe allemand barbu et économiste amateur opposait à la valeur d’échange.
Bon ça n’a rien à voir ici…. Ne partez pas, c’était pour rigoler !
Toutefois un jeu ça n’a de valeur que si on s’en sert. Et ici nous nous intéresserons toujours à la valeur d’usage des créations présentées, aux émotions qu’elles font vivre.
Notre idée c’est de transmettre, jamais de vous enjoindre à posséder.
Notre corde sensible vibre davantage que notre fibre consumériste.
Sinon bien souvent ces ouvrages finissent par être réédités ou réimprimés, et à nouveau distribués dans le commerce. Il se peut que j’en fasse mention à l’occasion.
Il y a des mots parfois, faut être fortiche pour les comprendre.
Vous devez sans doute parler des mots des jargons du jazz ou des jeux de société.
Face à ce problème j’ai été confronté à deux écueils : perdre tous les néophytes ou systématiquement expliquer les mots techniques dans les articles.
Les articles sont déjà plutôt longs et pour ceux qui savent, les principaux lecteurs je suppose, les explications ajouteraient des précisions longues et inutiles. Et rébarbatives aussi, si je devais expliquer dans chaque article.
Pour éviter l’un ou l’autre de ces écueils, j’ai créé deux pages de glossaire pour les termes de jargon.
Une sur le jazz : glossaire jazz
et une sur les jeux : glossaire jeux
Ces pages ne sont toutefois pas prévues pour être lues en entier. Faites-le si ça vous intéresse mais sachez d’abord que c’est mon verbiage, pas forcément des définitions académiques.
L’idée c’est plutôt d’intégrer des liens dans les articles sur les mots de jargon.
Ainsi les connaisseurs ne cliquent pas et ça n’alourdit pas leur lecture.
Je fais bien attention à tout ce que vous écrivez, particulièrement concernant les jeux de société. J’ai remarqué que parfois vous utilisez la rubrique Pourquoi c’est bien, et parfois la rubrique Ludoscopie. Pourquoi cette distinction ? Je me doute que tout cela un sens profond parfaitement réfléchi, comme tout ce que vous faites sur ce site. Que signifie donc cette différence de format ?
Merci à vous. Merci pour l’intérêt que vous portez à ce site et le sérieux dont vous me créditez.
Merci aussi d’avoir utilisé le mot format. C’est parfaitement cela dont il s’agit.
La section jeux de société contient – en plus de certains billets de blog afférent au loisir concerné – des articles classés dans plusieurs sous-catégories, des rubriques si vous préférez.
A l’heure actuelle 3 sous-catégories existent, chacune d’une forme différente et ayant ses propres raisons d’être :
– le format Pourquoi c’est bien est une vieille idée qui m’a longtemps trotté dans la tête. Si vous suivez un peu l’actualité ludique vous ne découvrirez probablement rien sur les jeux traités dans ces articles. Pas question de vous détailler la règle du jeu – sinon à peine un ou deux mécanismes utiles à comprendre l’originalité ou les particularités du jeu – j’essaye plutôt d’adopter le ton que je prendrais à l’oral si vous vous teniez en face de moi, que j’avais la boîte entre les mains, et que je devais vous expliquer pourquoi c’est bien.
– la rubrique Ludoscopie a été créée pour faire exactement l’inverse. Je peux avoir envie de vous présenter un jeu méconnu, un vieux jeu oublié, ou même une sortie récente, sans pour autant avoir le recul nécessaire pour vous dire pourquoi c’est bien, ni d’ailleurs si vraiment c’est si bien que ça. Méconnu, oublié ou fraîchement paru, pour vous faire découvrir un jeu il se peut que je le passe au scanner, pour vous raconter son histoire, sa relation avec d’autres jeux, un livre ou un événement historique, où simplement passer pas mal de temps à vous expliquer comment il fonctionne.
– la rubrique Au fond de la boîte est destinée à recueillir mes réflexions stratégiques autour d’un jeu. C’est un exercice dont les grands joueurs sont friands – à commencer par moi – et auquel je me suis parfois prêté sur le forum du site trictrac.net. Je compte à terme rapatrier toutes ces ressources sur danslacale.fr. Ces articles seront sans intérêt et fastidieux à lire pour ceux qui ne disposent pas du jeu concerné, et pour ceux – dont la communauté regorge – qui ne ressentent pas l’envie jouer plus de deux ou trois fois à leurs jeux. A l’inverse, il se pourrait bien que cela passionne ceux qui pensent que pratiquer est plus important que posséder, qu’un bon jeu ne s’use pas quand on s’en sert, et qu’il y a plein de choses à découvrir quand on commence à creuser sous le vernis, au coeur du jeu… au fond de la boîte.
Vous ne mentionnez jamais la dimension des cartes dans vos chroniques de jeux de société.
Savez-vous où peut-on se procurer des sleeves ?
Ah les sleeves, quelle horreur ! Pas de ça ici…
Arrêtez une fois pour toutes de plastifier vos cartes !
Vous m’énervez… voilà.
Pourrez-vous un jour aborder le concept de résilience ?
Concept cher aujourd’hui à tout un chacun et à notre président bien entendu (dans votre lien vidéo)
Merci d’avance.
J’aimeJ’aime
Bonjour,
Hélas je ne pense pas être psychologiquement en mesure de traiter ce sujet éminemment à la mode médiatique, dont le contenu commence sérieusement à déborder du contenant.
J’ai quelques souvenirs des parties de Risk en solo de mon enfance… il y a de la boue qu’il ne vaut mieux pas remuer.
J’aimeJ’aime
Cher Monsieur,je m’étonne que dans votre glossaire vous ne citiez pas «la stomp progression» .
Vous auriez pu sauter sur l’occasion lors de l’intervention de l’un de vos followers passionné qui, notant la référence au sein d’une œuvre de Manchette au morceau ”mère », essayait poussivement de contribuer à l’arbre,soit labyrinthique, mais au combien envoûtant que vous vous acharnez paresseusement à planter.
Je vous copie un petit passage de ce qu’un wikipediste anonyme écrit sur cette progression fameuse qui intéressera,j’espère,les amateurs avertis.
The progression (
Play (help·info)) is based on the last section of the piece, bars 57 to 64 in the original sheet music for piano[2] or the Fake Book lead sheet,[3] where the chords for the last ten bars of the piece are:
| G♭ ⁄ Go ⁄ | D♭7/A♭ ⁄ D♭7 ⁄ | G♭ ⁄ Go ⁄ | D♭7/A♭ ⁄ D♭7 ⁄ |
| G♭7 ⁄ Go ⁄ | D♭/A♭ Ao B♭m D♭/A♭ | Go ⁄ G♭ ⁄ | D♭/F B♭m Ao D♭/A♭ |
| Go G♭6 D♭/F A♭ | D♭9 ⁄ ⁄ ⁄ ∥
In pieces where the progression is repeated, this becomes something like:[citation needed]
∥: G♭7 Go7 | D♭7/A♭ D♭7 | G♭7 Go7 | D♭7/A♭ D♭7 |
| G♭7 Go7 | D♭7/A♭ B♭7 | E♭7 | A♭7 D♭7 :∥
which is, ignoring the temporary tonicization of G♭,[citation needed] and treating the key as that of the trio and stomp sections, D♭:[4]
∥: IV7 ♯ivo7 | I7(4
3 ) I7 | IV7 ♯ivo7 | I7(4
3 ) I7 |
| IV7 ♯ivo7 | I7(4
3 ) VI7 | II7 | V7 I7 :∥
The last two measures contain the ragtime progression.
P.S: je m’aperçois,au moment de poster cette humble contribution,que la page du glossaire « jazz» a disparu…
Sachez ,cher Monsieur, pour citer Winston Churchill,que la versatilité est l’ennemi du blogueur …
A bon entendeur
J’aimeJ’aime
Cher Monsieur Nible,
Non la page du glossaire jazz n’a pas disparu. Elle n’a jamais été référencée sur le site; elle n’apparaît que sous forme de liens dans les articles.
Elle n’est pas passionnante, car perpétuellement en construction, mais voici le lien si vous voulez la consulter : https://danslacale.fr/glossaire-jazz/
Pour la « stomp progression » c’est effectivement passionnant… Ça se lit tout seul, comme du Wikipédia. Si je n’en ai pas parlé c’est uniquement, hélas !, parce que je ne parviens pas à écrire les bémols sur mon clavier d’ordinateur.
La paresse n’a rien à voir là-dedans, même si je dois confesser ne pas être étranger à cette pathologie improductive. Comme chacun peut l’observer sur ce blog.
J’aimeJ’aime
excellent cette vidéo de Macron, un plaisir à découvrir alors qu’on vient de resigner un bail pour 5 ans. Comme j’aime à reprendre cette expression de Malcolm (la série) : « je ne m’attendais à rien, je suis quand même déçu ». Heureusement, il n’en est pas de même avec cette FAQ 😉
J’aimeAimé par 1 personne
Tiens, on se retrouve ici !
Je reprends alors, j’en ajoute une couche.
Cette déclaration de Macron m’a totalement, et bien plus qu’il ne le faudrait, retourné le cerveau. J’étais en pleine lecture de « l’idéologie allemande » de Marx et Engels, et le voilà qui nous sort que les vrais idéalistes sont des grands pragmatiques. Comme dit ailleurs, il faudrait dresser les différences entre pragmatisme et matérialisme. Il faudrait aussi noter que Macron a fait un mémoire de fin d’étude sur Hegel, qu’il a appris l’astucieuse doctrine du « en même temps » avec Ricoeur, qu’il a un vrai don pour la tambouille et le raccourci, et qu’il n’est pas à une connerie près. Mais quand même, ça m’a scié !
Si j’ajoute que quelques semaines plus tard je suis tombé sur un bouquin de Simon Leys (le type cité – mal cité – par Macron dans la vidéo) dans lequel j’ai trouvé ce fameux passage qui parle de Robinson… et que ça n’avait absolument rien à voir avec ce qu’avait compris notre président philosophe, tu pourras comprendre que tout ça m’a accompagné très longtemps. Je suis censé écrire un article un jour pour raconter tout ça. (Que je m’en débarrasse une bonne fois pour toute !)
Bref. Pragmatisme, idéalisme, matérialisme, embrouillisme… je n’en peux plus. J’espère que cette FAQ t’a été agréable à lire. J’ai essayé de faire passer un peu de ça là dedans mais également de l’humour et de l’absurde.
Je voudrais ne jamais écrire en me prenant trop au sérieux. Sur le site tu trouveras alternativement un peu de mes deux humeurs : sérieux et absurde. Particulièrement dans les commentaires.
Pas mal Malcolm. J’en ai déjà vu quelques-uns, c’est marrant !
Bienvenue !
J’aimeJ’aime
Alors ? La suite…
Je n’ai aucun goût pour les moribonds.
Bien à vous.
Sandra Kula
J’aimeJ’aime
Bonjour Sandra.
La suite ? Quelle suite ?
Je suis navré de comprendre que le site ne vous semble pas assez achevé tel quel.
Un peu de sang neuf serait le bienvenu.
Bien à vous.
J’aimeJ’aime